Abou d’Abi Bazar lance le shopping nocturne sur rendez-vous

Auteur :

Anne-Sophie Savenier

Publié le
5 nov. 2015

Abou d’Abi Bazar, qui vient de s’offrir un troisième spot dans le Marais (et quatrième à Paris), lance le shopping nocturne sur rendez-vous.

L’enseigne multimarque mode propose ainsi à ses clientes de réserver la boutique en exclusivité afin de profiter d’une session shopping personnalisé de 19h30 à 21h, sans obligation d'achat.

« Quand nous avons inauguré notre dernière boutique, rue des Francs-Bourgeois, nous étions ouverts en nocturne et beaucoup de clientes en étaient ravies car, en journée, elles ne pouvaient pas venir. Nous nous sommes dits que nous devions répondre à ce besoin », explique Patrick Aboukrat, le fondateur de l'enseigne multimarque.

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Pour l'instant, ce service est uniquement disponible à la boutique de la rue du Temple, mais si le succès est au rendez-vous, il pourrait être mis en place dans les trois autres boutiques Abu d’Abi Bazar (Vieille-du-Temple, Francs-Bourgeois et Soufflot).

« Pour nous, c'est un investissement et on espère bien sûr que cela va marcher. Ceci dit, quoiqu'il arrive, nous ne serons pas perdants. Nous sommes dans un contexte où il faut se bagarrer et trouver des idées pour développer une relation client qui puisse faire la différence, déclare Patrick Aboukrat. En lançant cette initiative, nous tentons d'apporter un service complémentaire qui nous permette de nous affirmer face à la concurrence d'Internet et des grands magasins... On verra bien si ça fonctionne. »

Outre ce nouveau concept, Abou d'Abi Bazar proposera chaque samedi de novembre à partir du 21 et jusqu'au 12 décembre, une pose de vernis gratuite dès 145 euros d'achat. Une façon pour le multimarque indépendant de personnaliser encore un peu plus sa relation avec les clientes. 

« Au fil du temps, nous avoir réussi à nous faire connaître grâce à notre sélection. Maintenant que nous avons franchi cette étape, l'idée est de nous faire connaître comme le détaillant indépendant proposant des petits plus », affirme Patrick Aboukrat.