Auteur :
Matthieu Guinebault
Matthieu Guinebault
Publié le
7 nov. 2011
7 nov. 2011
Le Mapic décliné en Turquie, au Brésil ou en Inde ?
Auteur :
Matthieu Guinebault
Matthieu Guinebault
Publié le
7 nov. 2011
7 nov. 2011
Nathalie Depetro |
S’il ne s’agit encore que d’un projet, la directrice du rendez-vous a d’ores et déjà identifié le pays qui, pour elle, se prêterait le mieux à ce pas en avant: la Turquie. "Je pense qu’il y a énormément de choses à faire là-bas", explique ainsi Nathalie Depetro à FashionMag.com. "C’est un marché extrêmement mature en termes de connexions à ce niveau d’activité".
Le lancement du Mapic à l’étranger répondrait à un constat: si le rendez-vous cannois peut regagner son niveau de fréquentation d’avant-crise, ce n’est pas forcément le but à rechercher. "Il nous faudrait quelques années pour revenir à 12 000 visiteurs", confie la directrice du salon. "Mais, au-delà du nombre, je ne suis pas certaine que ce soit là la vocation du Mapic. Si trop de personnes sont présentes, on prend alors le risque d’être contre-productif".
Et alors que le Mapic entend doper sa fréquentation de 10% sur son édition débutant mercredi 16 novembre, certains marchés se montrent particulièrement prometteurs. "On constate une forte croissance, voire une certaine euphorie, en Chine, au Brésil, en Inde, en Turquie ou en Russie", explique Nathalie Depetro. "Il suffit de regarder l’Inde, avec ses 300 centres commerciaux en construction, ou la participation russe qui grimpe de 60% grâce à l’arrivée de nouveaux investisseurs".
Une progression à laquelle la Turquie participe largement, le nombre de professionnels turcs faisant le chemin vers Cannes étant pour cette édition du Mapic en progression de 80%. Un bon augure au vu des réflexions en cours chez Reed Expositions.
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