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24 juin 2016
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Tape à l’œil muscle son réseau

Publié le
24 juin 2016

2016 est une année d’ouvertures et de développement pour Tape à l’œil. L’enseigne d’habillement pour enfant du groupe Mulliez, lancée en 1996, prévoit d’ouvrir 35 magasins, dont une quinzaine en France. L'Hexagone compte déjà 220 succursales Tape à l’œil.


Collection Tape à l'oeil - Instagram


La marque-enseigne vise notamment des implantations dans les centres commerciaux régionaux (parisiens entre autres) et dans les grandes agglomérations comme Lyon, Nantes ou Nancy. Et, pour s’ancrer en centre-ville où les surfaces vacantes sont plus rares et plus réduites, Tape à l’œil compte sur son concept 100 % phygitale, TAO Connect, qui permet de présenter l’ensemble des collections sur des surfaces oscillant de 60 à 80 mètres carrés.

Tape à l’œil table également sur un retour en Italie et en Espagne via des boutiques en propre d’ici la fin de l’année (ou le début de 2017). « L’enseigne s’était implantée une première fois dans ces pays au moment de la crise et pas avec les meilleurs emplacements », explique Joannes Soenen, le PDG de Tape à l’œil, qui a intégré la marque en 2012 après avoir passé dix ans chez Camaïeu.

A l’international, l’enseigne est présente dans une vingtaine de pays (environ 100 magasins). En Belgique et en Pologne, elle compte des succursales, et se développe en partenariat au Moyen-Orient et dans les pays du Golfe (environ 55 boutiques), dans le bassin méditerranéen, notamment au Maghreb, ainsi qu’en Europe de l’Est.

Tape à l’œil étudie « en mode laboratoire le potentiel du marché chinois pour l’enseigne », comme le souligne Joannes Soenen, qui précise : « Des gens sur place travaillent sur le sujet avec des collections capsules sur le digital ».

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