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31 août 2015
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Big Aristote : une marque de chapeaux revisitant les classiques du genre

Publié le
31 août 2015

Fort d’une formation à la création acquise à l’Ecole de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne et de huit années en tant que journaliste et critique de mode pour L’Officiel, Louis Bompard a lancé en décembre 2012 Big Aristote, une marque haut de gamme de chapeaux.

Tous les chapeaux Big Aristote sont unisexes.

Née d’une véritable passion pour les chapeaux, Big Aristote propose aujourd’hui des couvre-chefs aux coupes traditionnelles (Panama, chapeau melon, fédora), mais au style affirmé grâce à un travail autour des coloris et de la matière (mix de couleurs audacieux, ruban travaillé, feutre vieilli ou peint). 
 
Réalisés en feutre de laine pour la plupart et en paille naturelle l’été, chaque chapeau est fabriqué à la main dans un petit atelier en Espagne.

« Quand j’ai lancé ma marque, je souhaitais faire fabriquer mes chapeaux en France, mais ce n’était pas réalisable. Il y a trop peu de fabricants et ils me demandaient de faire des compromis trop importants sur les modèles et les coloris. C'est dommage... J’ai donc opté pour une fabrication européenne afin d’obtenir la qualité et les finitions que je souhaitais », explique Louis Bompard.
 
Fort d’un très bon accueil de ses deux premières collections, Big Aristote élargit sa gamme de chapeaux avec deux modèles pour l’année prochaine, portant à six le nombre de formes disponibles.
 
Dans un même temps, côté distribution, le jeune homme, qui souhaitait jusque-là prendre son temps afin de « ne pas tout gâcher », désire aujourd’hui développer son réseau de points de vente.
 
Une ambition qui l’amène aujourd’hui à participer pour la première fois au salon Première Classe, qui se tiendra du 4 au 7 septembre à la Porte de Versailles, à Paris.
 
« Nous sommes présents dans six points de vente, dont le Bon Marché et Mercy, et jusque-là, cela me convenait très bien ! Je pense cependant que c’est le bon moment pour nous développer tout en restant vigilant. Dans l’idéal, j’aimerais être présent dans une belle boutique par capitale européenne car, de toute façon, au-delà, l’atelier ne pourra pas suivre. Nous visons donc une distribution très sélective. Ce qui est au fond un atout. »

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