10 319
Fashion Jobs
ERIC BOMPARD
Préparateur de Commandes / Livreur H/F
CDI · SAINT-OUEN-SUR-SEINE
CHANEL
CDI - Chargé Learning Grand Sud - H/F
CDI · NICE
CHANEL
Alternant(e) Facility Manager - Multiservices Campus Neuilly H/F Septembre 2024
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
Chef de Projet Développement Créatif Vitrines, Événements et Plv Horologerie Joaillerie (H/F) - CDI
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
Responsable Post Production Films/Photo
CDI · PARIS
CHANEL
Responsable Merchandising Mobilier Permanent H/F
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
CDI - Chargé Des Stocks - Galeries Lafayette H/F
CDI · PARIS
CHANEL
Marketing Manager – Local Markets Export (H/F)
CDI · PARIS
CHANEL
CDI – Gestionnaire de Stock Showroom Presse – (H/F/x)
CDI · PARIS
CHANEL
Previsionniste Parfums Beaute Europe (H/F) - Temporaire
CDI · PARIS
CHANEL
CDI - Chargé.e de Coordination Marchés - (H/F/x)
CDI · PARIS
CHANEL
Chef de Projet Junior Merchandising Campagnes (H/F)
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
Sustainability Analyst (H/F)
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
CDI - Contrôleur Financier - H/F
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
Celebrities Budget Project Manager
CDI · PARIS
CHANEL
Contrôleur de Gestion Opération
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
CDI - Chef de Projet Qualification Pièces Métalliques (H/F/x)
CDI · PARIS
CHANEL
Responsable Service Courrier et Logistique
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
Account Manager - Export Markets
CDI · PARIS
CHANEL
Alternant Acheteur Matières Premières (H/F)
CDI · PANTIN
CHANEL
CDI - Acheteur Packaging Parfum (H/F)
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
CHANEL
Talent Management And Development Lead – Parfums Beauté – H/F
CDI · ROISSY-EN-FRANCE
Publicités
Par
Reuters
Publié le
2 déc. 2020
Temps de lecture
2 minutes
Télécharger
Télécharger l'article
Imprimer
Taille du texte

France: l'Insee voit le PIB se contracter de 4,5% au 4e trimestre

Par
Reuters
Publié le
2 déc. 2020

PARIS (Reuters) - L'économie française devrait se contracter de 4,5% au quatrième trimestre, période marquée par la résurgence de l'épidémie liée au coronavirus et la mise en place de mesures restrictives dont les répercussions seront toutefois moins rudes que lors de la première vague, a déclaré mercredi l'Insee.


Photo prise le 26 mai 2020 / Reuters / Ludovic Marin


L'Institut national de la statistique tablait dans ses précédentes estimations sur une chute comprise entre 2,5% et 6% pour les trois derniers mois de l'année. "Après un vif rebond en partie mécanique au troisième trimestre, l'activité économique française chuterait à nouveau lors d'un quatrième trimestre en partie confiné", écrit l'Insee dans sa note de conjoncture de décembre. L'Insee y rappelle que le produit intérieur brut (PIB) a rebondi de 18,7% au troisième trimestre après un plongeon historique de 13,8% sur la période avril-juin.

L'impact du deuxième confinement, instauré en France le 30 octobre, devrait ainsi être nettement moins brutal que le premier, qui avait duré deux mois, de mi-mars à fin mai.
"Ce dernier [confinement] diffère du confinement du printemps quant à son périmètre et sa durée, ce d'autant plus en considérant l'apprentissage induit par l'expérience du printemps. Ainsi, l'écart d'activité avec le niveau d'avant-crise se serait certes creusé à nouveau en novembre, à –12%, mais de façon moindre qu'en avril (–30% environ)", précise l'institut, en s'appuyant sur les enquêtes de conjoncture et des données à haute fréquence. Pour l'ensemble de l'année, l'Insee table sur un recul d'environ 9% du PIB.

Le gouvernement, pour sa part, prévoit une contraction de 11% mais le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a suggéré il y a deux semaines que la baisse définitive pourrait être moindre. Avec la levée par paliers des mesures de confinement, la situation économique devrait s'éclaircir prudemment en cette fin d'année, avec notamment une reprise progressive de la consommation, estime l'Insee. La "perte" de consommation par rapport au niveau d'avant-crise devrait être limitée à 6% en décembre contre -14% en novembre.

Alors que la consommation des ménages a subi une chute de 11,4% lors du deuxième trimestre, elle ne reculerait que de 6% sur l'ensemble du quatrième trimestre, du fait du "caractère un peu moins contraignant du deuxième confinement, mais aussi avec la poursuite de la forte dynamique des ventes en ligne observée dès l'entrée en confinement".


(Laetitia Volga, édité par Jean-Stéphane Brosse)

© Thomson Reuters 2024 All rights reserved.

Tags :
Industrie