Auteur :
Bruno Joly
Bruno Joly
Publié le
1 sept. 2011
1 sept. 2011
Fuego développe Miss Fuego
Auteur :
Bruno Joly
Bruno Joly
Publié le
1 sept. 2011
1 sept. 2011
Fuego poursuit sa conquête d’une clientèle plus jeune. La marque féminine de Marseille présente pour la troisième fois Miss Fuego. Cette nouvelle ligne, lancée avec le printemps 2011, se veut plus jeune et moins chère que sa grande sœur.
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"C’est également une politique de prix plus bas, inférieurs de 30 à 40% en moyenne", commente Jean-Henri Martin, en charge de l’export chez Fuego. La collection, assez petite avec une cinquantaine de modèles, complète l’offre qui compte Fuego, Fuegolita pour les grandes tailles et Ananké, plus jeune. Miss Fuego a aussi été une arme face à la crise dans les pays de l'Est, où la marque est très présente.
Surtout, la marque née en 1980, vient de refaire son showroom parisien, qui, lui, fête ses 10 ans d’existence. Sur 200 mètres carrés, il présente l’ensemble de l’offre dans une ambiance spacieuse mêlant le verre et l’acier. Un enjeu de taille vu que la société réalise la moitié de ses ventes sur le grand export, Russie en tête.
Fuego, d'après les chiffres déposés, aurait vu ses ventes baisser en 2009 à environ 14 millions d'euros. Les chiffres 2010 n'ont pas été publiés. Mais, les marchés russes et voisins auraient repris des couleurs. Ainsi, sur le printemps 2011, Fuego y aurait livré plus de 500 clients répartis dans 163 villes. Surtout, plus d'une trentaine sont de nouveaux venus.
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