Grain de Malice lance une première capsule fabriquée en France

A l'instar d'autres enseignes et distributeurs, comme Decathlon (en partenariat avec Chantelle notamment), Gémo ou Bonobo, la chaîne de prêt-à-porter féminin Grain de Malice a décidé de développer de premiers produits fabriqués en France. L'entreprise appartenant à la famille Mulliez débute pour l'hiver avec deux références, un pull et un bonnet, tricotés par la manufacture Marcoux-Lafay (Loire).

Installée à Sainte-Agathe-la-Bouteresse, l'usine a été créée dans les années 20 par la famille Marcoux-Lafay et s'est développée sur les segments de la layette et du prêt-à-porter avant de prendre le virage du tricotage (mode et technique) dans les années 90.

Le pull aux rayures marine et dorée, composé de 60% d'acrylique, de 30% de polyamide, de 5% de polyester et de 5% d'alpaga, sera commercialisé au prix de 89,99 euros, tandis que le bonnet orange (100% acrylique) est étiqueté à 29,99 euros. Tous deux seront vendus en magasin et en ligne à compter du 14 décembre.

S'adressant aux femmes de plus de 35 ans avec des produits milieu de gamme déclinés du 36 au 48, Grain de Malice projette un autre temps fort pour les fêtes, à savoir une mini-collection mode réalisée en duo avec la danseuse Denitsa Ikonomova.

L'entreprise née en 2007, qui s'appuie sur un parc de 190 boutiques, affichait l'an dernier son ambition de totaliser 300 points de vente à horizon 2025, surtout grâce à l'affiliation. Son dernier chiffre d'affaires connu fait état d'un montant de 115 millions d'euros générés avant crise, en 2019.

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