Pour la deuxième année consécutive, le salon Belles Montres prend ses quartiers d’hiver au Carrousel du Louvre. Du 28 au 30 novembre prochains, soixante marques horlogères participeront au nouveau rendez-vous parisien. Portée par les bons premiers écho, la nouvelle édition devrait tenir ses promesses.

Modèle Ballon Bleu de Cartier

En premier lieu, la surface d’accueil gagne 1 000 mètres carrés, déployant ses 3 500 mètres carrés au cœur du Carrousel. Et malgré la morosité économique qui frappe aussi à la porte du luxe, près de 10 000 personnes sont attendues d’après les organisateurs. Des prévisions réjouissantes expliquées notamment par la vocation pédagogique du salon. En effet, en filigrane, l’objectif n’est pas tant d’augmenter les ventes, par ailleurs exclues sur le salon, que de rendre accessible un milieu d’initiés. La consigne étant de jouer la proximité entre visiteurs et exposants.

Cette année, le salon compte par ailleurs vingt marques horlogères en plus, portant le nombre d’exposants à soixante. On retrouvera les traditionnelles maisons Cartier, Audemars Piguet, Chanel, Chaumet, IWC, Hublot, Panerai, Piaget, Richard Mille ou encore Jaeger-LeCoultre aux côtés d’Elie Bleu, Badollet, Romain Gauthier, ou encore Tournaire. Et si venait l’envie d’acquérir l’un de ces trésors, Maserati met à disposition des futurs acquéreurs un chauffeur qui les conduira aux boutiques agréées.

La Fondation de la Haute Horlogerie, partenaire institutionnel de l’événement, organise également en parallèle une exposition "L’univers des montres à complications", sans doute l’un des plus tendances à l’heure actuelle. Plus d’une soixante de montres-bracelets ont été réunis pour l’occasion, prêtés par la Fondation ainsi que plusieurs musées, dont celui de la Chaux-de-Fonds, les musées d’horlogerie de Zurich, Genève ou encore du Locle. Les partenaires du salon contribuent également à l’édifice en apportant vingt-quatre pièces contemporaines.