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1 mars 2009
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Lila Conti souhaite ouvrir son capital

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1 mars 2009

Charmeuse de libellule, Aérienne, Lolita, Bucolique ou encore Diva, Vagabonde, Jungle Queen, ... Les noms que donne Gwenaëlle Crehalet à ses lignes émoustillent l’imagination. Ses bijoux, aussi. Née en 2006, sa marque, Lila Conti, érige pierre par pierre sa distribution sur le sol français, mais aussi au Japon et en Chine – les priorités de la créatrice pour l’année à venir –, en Allemagne, en Angleterre, en Grèce, en Suisse et en Belgique. Elle s’entoure aussi de vitrines online telles que Winaretta. Sans oublier le Printemps, qu’elle vient d’investir.


Charmeuse de libellule collection intemporelle Lila Conti

Les pierres. C’est avec elles que Gwenaëlle Crehalet joue et nous concocte bagues, colliers, bracelets, boucles d’oreilles et broches. Que ce soit la fuschite, l’améthyste, l’œil de tigre, la nacre Abalone ou encore le jade, chaque pierre a sa propre signification et des énergies qui lui sont propres. « Je vais beaucoup à Bâle où je découvre des choses extraordinaires, explique la fondatrice de Lila Conti. J’aime le travail de recherche pour trouver des pierres méconnues ou peu exploitées ».


Collier chaîne laiton doré estampes Art Déco et onyx noir Lila Conti hiver 2008/2009

La collection Garçonne, imaginée pour l’hiver dernier, a plu. Si bien que Gwenaëlle Crehalet décide de la renouveler. La voici donc de nouveau pour l’été avec ses inspirations Art Déco, son côté plus chic, moins coloré « que l’on imagine très bien avec un smoking masculin », note-t-elle.

En pleine consolidation de sa stratégie de développement, la marque française affirme même être prête à ouvrir son capital.

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