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4 juil. 2013
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Mes Demoiselles veut passer à l'étape suivante

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4 juil. 2013

Mes Demoiselles a grandi. La marque féminine parisienne lancée en 2006 par la créatrice Anita Radovanovic a réussi à faire connaître sa patte folk et bohème en France et au-delà. La griffe haut de gamme revendique ainsi à ce jour 400 points de vente dans le monde, dont un tiers en France environ. Après avoir ouvert une première boutique rue Charlot dans le Marais il y a cinq ans, Mes Demoiselles se replonge dans le retail.

Mes Demoiselles automne-hiver 13


"L'un de mes objectifs est d'ouvrir plusieurs boutiques à Paris dans les prochaines années", confie Lorraine Bardon, nouvelle responsable commerciale de la marque. "Nous travaillons également au lancement de notre e-shop, pour l'hiver prochain", ajoute-t-elle. La marque, qui exposait au Tranoï Preview du 29 au 2 juillet et sera également présente à Who's Next du 6 au 9 juillet, cherche donc une seconde boutique dans la capitale.

Ce qui a permis à la griffe de trouver sa place sur l'échiquier féminin haut de gamme, c'est son style bien à elle, inspiré des folklores vestimentaires d'Inde -où ses broderies sont réalisées-, du Maghreb, des pays de l'Est ou des Balkans, dont une partie de la famille de la créatrice est originaire.

Jupons, blouses, gazes de coton, soies se complètent l'hiver de grosses mailles généreuses. Se positionnant un peu plus haut de gamme qu'il y a quelques saisons, désormais aux côtés des lignes bis de créateurs, il faut compter pour une robe en soie Mes Demoiselles de 250 jusqu'à 350 euros pour un modèle long.

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