MyPersonalCloset lance sa déclinaison lingerie

Auteur :

Anaïs Lerévérend

Publié le
14 avr. 2017

MyPersonalCloset étend son concept. La start-up lancée en 2014 déploie ainsi ce printemps « MyPrivateCloset », l'alter ego de son premier service côté dessous. A son service de stylisme personnalisé et d'essayage à domicile de prêt-à-porter féminin et d'accessoires, elle ajoute ainsi un dispositif identique pour la lingerie et le maillot de bain.

Les premières malles MyPrivateCloset ont été envoyées le 31 mars dernier. Le principe est le même que pour la première version du projet : la cliente livre ses mensurations, ses préférences en termes de style et de budget, puis l'équipe lui envoie gratuitement la sélection qu'elle aura faite selon sa demande. En l'occurrence, pour ce service, ce sont huit articles qui sont proposés, avec quatre jours pour essayer et renvoyer les articles qui ne seront pas gardés et donc pas facturés.

Pour son offre lingerie, la start-up fondée par Clémence Gaillard et Sébastien Mante a sélectionné une douzaine de marques de dessous ou de balnéaire pour commencer, entre milieu et haut de gamme, dont certaines valorisées pour leurs collections fabriquées en France. MyPrivateCloset propose ainsi à ses clientes des produits signés Ysé, Atelier Amour, Chichi Castelnango, Absolutely Pôm, Samsoe & Samsoe, Badines, Barbara, Atelier Modesti, Implicite, Kiwi ou encore Daïva.

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« Chez MyPrivateCloset, nous pensons qu'il est temps de proposer une nouvelle façon d’acheter de la lingerie en apportant la boutique directement chez l’utilisatrice. Son salon devient la cabine d’essayage la plus cocooning ! » explique Clémence Gaillard au sujet de cette transition naturelle du concept « MyPersonalCloset » vers « MyPrivateCloset ».

En 2016, la start-up a multiplié son chiffre d'affaires pas trois et, surtout, a enregistré un exercice à l'équilibre. Elle entend désormais se développer à l'international après avoir ouvert la livraison aux pays frontaliers de la France. Mais aussi donc avec cette nouvelle offre, qu'elle espère notamment boostée par la demande de maillots de bain avant l'été.