Swatch toujours, mais Omega surtout. En effet, le groupe Swatch vient d’annoncer la signature d’un accord avec le Comité International Olympique (CIO) grâce auquel Omega sera le chronométreur officiel de tous les Jeux Olympiques jusqu’à l’horizon 2020.

Speedmaster Professional Moonwatch Apollo 11 d'Omega

C’est toutefois lors des JO de Pékin 2008 qu’Omega a marqué son grand retour, après 12 ans d’absence au profit du groupe Swatch dont le nom avait pris le relais en 1994. A cette occasion, le chronométrage avait requis 420 tonnes d’équipements et les services de 450 professionnels, avait alors souligné l’horloger. L’accord signé le 25 septembre vient ainsi inscrire dans la durée un partenariat quasi-ininterrompu depuis 1932, date à laquelle Omega s’était vu confier pour la première fois le chronométrage officiel.

Ainsi, outre le chronométrage des compétitions, l’horloger sera en charge du traitement des données, de l’affichage des résultats sur site et de leur transmission auprès de la presse. « Une tribune unique, selon Stephen Urquhart président d’Omega, pour transmettre notre message de précision, de qualité et d’innovation dans un environnement aussi propice que prestigieux. »

Les Jeux d’hiver de Vancouver qui débuteront en février prochain marqueront ainsi la 24ème participation d'Omega. Jacques Rogge, président du CIO, a déclaré lors de la conférence de presse que « la passion d’Omega pour le développement du chronométrage sportif, son engagement envers les athlètes et son dévouement au Mouvement Olympique sont autant de solides assurances, tant pour le CIO que pour les organisateurs des Jeux. »