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8 déc. 2008
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Récompense de 700 000 euros pour les bijoux volés d'Harry Winston

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AFP
Publié le
8 déc. 2008

PARIS, 8 déc 2008 (AFP) - A braquage record, récompense record : les Lloyd's de Londres offrent un million de dollars (700 000 euros) à la "première personne qui permettra de retrouver" les 85 millions d'euros de bijoux volés vendredi 5 décembre à la joaillerie Harry Winston à Paris.


Joaillerie de luxe Harry Winston, avenue Montaigne à Paris (VIIIe), le 5 décembre 2008 - Photo : AFP

Cette récompense, a précisé lundi 8 décembre au soir à l'AFP le cabinet S.W. Associates missionné par les Llyod's, sera d'un "maximum d'un million de dollars ou calculée au prorata des bijoux retrouvés et sera remise à la première personne qui donnera une information permettant de retrouver les bijoux".

Le préjudice du braquage avait été estimé à 85 millions d'euros par la célèbre maison américaine, un record toutes catégories pour un vol en France.

Lors du premier braquage qui avait visé, le 6 octobre 2007, la même boutique de luxe pour un butin de 20 millions d'euros, les Lloyd's avaient alors offert une récompense 500 000 dollars (près de 400 000 euros à l'époque).

Il n'y a pour le moment aucune trace de ces bijoux, volés il y a quatorze mois.

Les policiers de la Brigade de répression du banditisme chargés de l'enquête ont entamé dès vendredi soir une enquête "longue et difficile" pour remonter vers les quatre auteurs du hold-up.

En un quart d'heure vendredi en fin d'après-midi, les malfaiteurs armés, dont trois étaient déguisés en femme et qui connaissaient les noms de certains employés, leur adresse personnelle et l'emplacement exact des coffres-forts, avaient fait main basse sur 85 millions d'euros de bijoux.

Le degré de renseignement des braqueurs laisse penser qu'ils avaient effectué des repérages de cette joaillerie de l'avenue Montaigne (VIIIe), en plein Triangle d'or de Paris.

Les malfaiteurs connaissant "très bien les lieux", les enquêteurs s'interrogent sur d'éventuelles complicités internes et sur un lien possible avec le braquage du 6 octobre 2007.

S'agit-il de la même équipe, sont-ils en lien? Les enquêteurs n'écartent aucune piste, du grand banditisme français à des ressortissants de pays de l'Est du type des "Pink Panthers", selon une source proche du dossier.

Mais, à la différence de cette organisation criminelle internationale spécialisée dans les braquages de bijouterie, les braqueurs de la joaillerie Harry Winston s'exprimaient en français, teinté d'accent slave, et leur mode opératoire était moins violent que celui des "Pink Panthers".

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