The Faraday Project étoffe ses collections

Auteur :

Chenu Alexis

Publié le
24 juin 2016

Fondée par Thomas Fayon, associé à Alexandre Stourbe, The Faraday Project faisait une entrée spectaculaire sur le marché du prêt-à-porter en proposant une première série de produits intégrant une technologie brevetée protégeant à la fois des ondes électromagnétiques et des piratages de données.

Après les chemises, chinos, vestes en cuir, blazers et jeans, The Faraday Project étoffe ses collections pour l’été 2017 avec le lancement de jeans selvedge (denim japonais), de chinos bleus et blancs (fabrication en Italie), hoodie et sweats en néoprène (trois coloris) et d'un premier tee-shirt.

Autre innovation intéressante, le lancement d’une nouvelle matière baptisée « Fluid Mechanics » sur une ligne de polos (190 euros), trenchs (490 euros), bombers (420 euros) et casquette. Fabriqué à Singapour, ce tissu au léger satiné se revendiquant être anti-UV, anti-bactérien et anti-odeurs intègre également des bandes Framis sur les coutures, assurant une imperméabilité totale aux vêtements.

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La marque, qui compte pour le moment un point de vente à Bruxelles (Réservoir Shop), un autre à La Garçonnière, à Paris, et est présente sur les sites de l’Exception ou via son e-shop www.thefaradayproject.com, fêtera son arrivée au Bon Marché en septembre dans le cadre de l’exposition « Paris », où elle présentera un blouson en cuir de la collection hiver, un modèle fabriqué à Paris, vendu au prix de 1 690 euros et intégrant toutes les technologies de protection contre les ondes électromagnétiques via ses poches isolantes et intérieures.  

En attendant la rentrée, The Faraday Project présente sa collection en showroom jusqu’au 16 juillet au 9, rue Pecquay, dans le 9ème arrondissement de Paris.