What For s’offre une boutique à Saint-Germain-des-Prés

Auteur :

Anne-Sophie Savenier

Publié le
22 avr. 2015

Un peu plus d’un an après l’ouverture de sa première boutique dans le Marais, What For, la marque de chaussures chinoise propriété du groupe Stella International, s’offre une deuxième boutique en France.
 
La griffe, qui propose des pièces haut de gamme à des prix accessibles, vient ainsi d’inaugurer un nouvel espace de 60 m², situé rive gauche, dans le 6ème arrondissement de Paris, au 51 rue Bonaparte.

Au rendez-vous, un écrin privilégiant le marbre, le bois et les miroirs pour une ambiance résolument contemporaine. Des codes déjà développés dans la première boutique.
 
Dans cette deuxième vitrine parisienne, les clients découvriront également les dernières créations printemps-été de la marque comme des sandales ou des spartiates déclinées dans des coloris pastels et des cuirs irisés.

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En ouvrant cette nouvelle boutique, What For - qui possède plus de 180 boutiques à travers le monde, mais aussi des corners dans les plus grandes enseignes multimarques et un e-shop - souhaite affirmer son dynamisme et poursuivre son ascension dans l’Hexagone.
 
En outre, la  griffe vient de signer pour une boutique au Forum des Halles. Prévu pour la fin 2015, ce nouvel espace de 70m², situé sous l’emblématique canopée,  sera la plus importante surface de What For en France.
 
« Nous prévoyons d’autres ouvertures en propre d’ici la fin 2015, à Paris et dans les grandes villes de province comme Nice ou Lyon, explique Yann Tobelaim, président de Stella Fashion SAS. Ces ouvertures sont nécessaires à notre développement, mais nous prenons notre temps car nous cherchons des emplacements de qualité. »
 
En attendant de dénicher ces emplacements prime, What For poursuit le développement de son réseau de distribution en multimarques.
 
« Notre stratégie de distribution consiste à nous appuyer sur le triptyque grands magasins, multimarques et boutiques en propre. Ces différents réseaux nous permettent de toucher une clientèle très large et des zones de chalandise variées. C’est essentiel pour nous », explique Yann Tobelaim.