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21 févr. 2013
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A Peace Treaty valorise l’artisanat aux quatre coins du monde

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21 févr. 2013

A Peace Treaty est une invitation au voyage. A chaque saison, cette marque d’accessoires de luxe part dans une région du monde à la rencontre de l’artisanat local. Depuis sa création en 2008, la marque a ainsi travaillé avec des coopératives d’artisans dans huit pays: au Pakistan, en Afghanistan, au Népal, en Inde, en Turquie, en Bolivie, au Pérou, et en Équateur.

Collection printemps 2013 A Peace Treaty


A l’origine de ce concept se trouvent Farah Malik, Pakistanaise musulmane venant du marketing multimedia et Dana Arbib, libyenne juive issue du secteur textile. Avec la création de A Peace Treaty, les deux femmes ont souhaité conclure un "pacte personnel" visant à soutenir des artisans reconnus pour leurs techniques traditionnelles dans des pays où le climat politique économique ou social est instable. Elles utilisent également la mode comme un vecteur de valorisation de différentes cultures. Ainsi la collection printemps 2013 intitulée Villa Bambola est inspirée de la Libye des années 1960 et de son influence italienne. "Bien plus que le portrait d’une époque révolue, la collection sert de guide pour l’avenir grâce à ses références à l’art, à la mode et à l’architecture de ces années-là", détaillent les fondatrices de A Peace Treaty, qui espèrent aussi véhiculer une autre image de la Libye marquée par les années du colonel Kadhafi.

Après avoir créé des pièces de prêt-à-porter, la marque se concentre aujourd’hui sur l’accessoire haut de gamme pour homme et femme (environ 180 euros le collier et 260 euros l’écharpe). La marque est diffusée sur son site internet, et à travers 150 magasins à l’international. En France, on peut la retrouver chez 66 Champs-Elysées, Centre Commercial, Democratie et French Trotters.

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