Après ballerines et hauts talons, la marque australienne lancera l’hiver prochain des sneakers inspirées de la danse, et une première ligne textile leisure wear destinée à la ville.

Sneakers Bloch - Automne-hiver 2010

Une arrivée dans le citywear qui, pour le PDG Guy Rapp, était des plus évidentes. "On compte beaucoup de marques développant de l’activewear en s’inspirant du fitness ou du yoga" explique-t-il. "Mais aucune n’était inspirée par le monde de la danse, qui est plus élégant, plus raffiné, plus sophistiqué".

Fort de sa légitimité dans les produits de danse, Bloch a donc développé une ligne de 70 créations aux multiples déclinaisons couleurs. Des pièces près du corps jouant largement sur les fausses juxtapositions de vêtements, et intégrant des accessoires comme écharpes et gants. Il faudra compter à partir de 50 euros pour un top, 85 euros une veste et 120 euros pour un bas, sans oublier des pièces spéciales proposées dans les 200 euros. Doubles épaisseurs, renforts et pliures apportent à cette ligne un compromis entre mode et articles de danse, permettant aux adeptes d’emmener leur passion dans la vie de tous les jours.

Un concept qui pousse également Bloch à dévoiler ses toutes premières sneakers inspirées de la danse. Une niche pas ou peu exploitée, pour Guy Rapp. "Il y a plus de gens qui dansent que de gens qui jouent au basket. Mais personne n’a aujourd’hui apporté au grand public une sneaker qui s’en inspire. Nous avons la seule" affirme-t-il. "Elle est très particulière. Et parce qu’elle est particulière, elle peut devenir le prochain classique". Les sneakers seront proposées entre 90 et 150 euros. Les nouvelles chaussures pièces textiles seront distribuées chez les détaillants spécialisés de la marque qui compte de par le monde 1 000 détaillants mode et 3 000 détaillants spécialisés dans la danse.