
Anne-Sophie Savenier
21 juil. 2014
Louise Damas, une marque de bijoux fantaisie inspirée par les héroïnes de la littérature

Anne-Sophie Savenier
21 juil. 2014
Des headbands, des bijoux de col, d’oreilles mais aussi les classiques bracelets, bagues et colliers, en 2012, Louise Damas a créé sa marque éponyme qu’elle a présentée pour la première fois au salon Who’s Next.

Cette jeune créatrice, arrivée un peu par hasard sur le secteur des bijoux fantaisie, propose des bijoux élégants, raffinés et romantiques inspirés par les héroïnes de la littérature.
"J’ai commencé par des études de lettres à la Sorbonne et en parallèle je créais mes bijoux. J’ai toujours eu une certaine aisance pour les activités manuelles et un goût pour la création, alors, quand mes bijoux ont commencé à plaire, je me suis dit que je devais me lancer. Pour autant, je ne voulais pas sacrifier mon amour de la littérature, c’est comme ça que j’ai eu l’idée de proposer des bijoux inspirés par mes héroïnes de roman préférées", explique Louise.
La jeune femme signe des bijoux en plaqué or, pierres semi-précieuses et Swarovski au style classique mais ponctués d’une touche romantique. Et d’autres plus tendance et rock, comme des bijoux d’oreilles ou des headbands.
L’idée ? Toucher un large public en proposant des créations variées mais aussi permettre aux acheteurs de comprendre son inspiration en livrant chaque bijou avec un texte d'explication concernant l’héroïne qui l’a inspirée.
Ainsi, Hélène de Troie, l’Elisabeth de Stefan Zweig ou encore Phèdre ont déjà leurs bijoux hommage, vendus entre 50 et 250 euros.

Actuellement distribuée dans trois points de vente à Paris, So we are, le Souk parisien et L’Avant Scène, mais aussi sur internet sur son e-shop, Carnet de mode, Modizy, Artbay et les Vitrines Parisiennes, la créatrice cherche encore des points de vente.
"Je suis venue à Who’s Next car c‘était le rendez-vous idéal pour présenter ma collection et approcher de nouveaux distributeurs. Je souhaiterais avoir plus de points de vente à Paris, me développer en province mais également à l’international. J’ai constaté sur mon e-shop que j’avais une vraie clientèle étrangère donc j’aimerais bien sûr leur proposer des points de vente physiques. C’est important de voir, de toucher et d’essayer les bijoux", explique Louise.
Pour l’instant, l’aventure Who’s Next est plutôt positive car, même si la jeune femme n’a rien signé encore, des contacts ont été noués, notamment avec un agent russe, et des discussions pour l’ouverture d’éventuels nouveaux points de vente ont été entamées.
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