Auteur :
Sarah Ahssen
Sarah Ahssen
Publié le
16 déc. 2011
16 déc. 2011
Qhuit veut accélérer son développement européen
Auteur :
Sarah Ahssen
Sarah Ahssen
Publié le
16 déc. 2011
16 déc. 2011
Qhuit veut accélérer sa distribution en Europe. Présente dans une soixantaine de points de vente en France dont Citadium, et une vingtaine en Allemagne, la griffe de streetwear connue – notamment – pour ses t-shirts à l’imagerie décalée pas très "politiquement correcte" veut déverser sa mode urbaine sur le Vieux Continent. "Nous voulons accélérer notre distribution dans quatre/cinq pays européens comme l’Angleterre", explique Jérôme, l’un des deux cofondateurs de Qhuit qui a confié sa distribution hexagonale à V7 pour la saison printemps-été 2012.
Quelques pièces pour le printemps 2012 signées Qhuit |
Car, outre son réseau de distribution, Qhuit a depuis son lancement en 2002 largement développé ses collections. Si les t-shirts (environ 35 euros) - qui ont marqué l’avènement de la marque - s’ornent toujours d’imprimés graphiques et de slogans provocateurs, Qhuit propose désormais une mode urbaine et pointue: chemises (85 euros), vestes (de 110 à 250 euros), pantalons ou encore bermudas. Des pièces aux détails soignés à destination d’un public féru de culture urbaine mais pas seulement.
En octobre 2010, la marque a inauguré sa première boutique 39 rue Durantin (XVIIIe arrondissement de Paris) dans le quartier des Abbesses. Une vingtaine de mètres carrés qui accueillent également la marque textile Poyz & Pirlz (pour potes boys et potes girls) dédiée aux t-shirts en édition limitée.
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