Swatch "Street Club"

Avant même que Swatch ne devienne Swatch The Club, comprendre plus qu’une « second watch » (dont la contraction a donné naissance au nom) mais une véritable communauté de fans éparpillés dans le monde entier, l’art contemporain inspirait déjà son design. Vingt-cinq ans après, l’alchimie est toujours là et cette fois, c’est l’artiste Grems qui s’y colle avec la « Street Club »


Artiste français de la jeune garde et touche-à-tout, Grems a fait de la rue un vaste champ de création. Sa signature ? Des graphismes vifs, des groupes de lettres colorées, des signes décalés, le tout étalé sur des murs de brique, des camions, des métros ou encore des vêtements.


On les retrouve de la même manière sur la « Street Club ». Sur fond noir, le bracelet et le cadran sont recouverts d’inscriptions flashy dessinées à la main.


Cette dernière née des enfants terribles de Swatch devrait sans aucun doute rejoindre les nombreux collectors qui la précèdent, parmi lesquels le modèle imaginé par Keith Haring. Il a été un des premiers à se prêter au jeu, suivi par une longue liste de personnalités.


Créateurs de mode comme Agatha Ruiz de la Prada ou encore Jean-Charles de Castelbajac, cinéastes tels que Pedro Almodovar ou bien artistes contemporains ont depuis collaboré avec la marque, participant à faire de la « deuxième montre » une incontournable, séduisant tous les sexes, des enfants aux quinqua.


Aujourd’hui encore, Swatch reste une marque « phare » du groupe suisse. Fer de lance de sa réussite commerciale ? Le réseau retail. Swatch compte en effet près de 12 000 points de vente dans le monde, des adresses au sein desquelles on peut d’ores et déjà trouver la nouvelle « Street Club » au prix de 70 euros.