
Autrefois mastodonte du textile français mis en difficulté par la concurrence internationale et des rachats successifs, le groupe sera liquidé en 2022, suite aux cessions de ces deux dernières enseignes. Rétrospective.
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Autrefois mastodonte du textile français mis en difficulté par la concurrence internationale et des rachats successifs, le groupe sera liquidé en 2022, suite aux cessions de ces deux dernières enseignes. Rétrospective.
Le tribunal de commerce de Lille a choisi la Financière immobilière bordelaise (FIB) pour reprendre 511 magasins de l'enseigne de prêt-à-porter féminin Camaïeu et 2.659 salariés sur plus de 3.100.
Deux offres de reprise de l'enseigne de prêt-à-porter Camaïeu, en redressement judiciaire, améliorées par rapport à celles déposées début juillet, ont été présentées mercredi aux représentants syndicaux
Avec trois de ses actionnaires, le président de l'enseigne est candidat à sa reprise au tribunal. Le rétrécissement du parc Camaïeu et l'unification de sa logistique sont selon lui nécessaires pour pérenniser la société.
En redressement judiciaire, l'enseigne nordiste fait l'objet de sept offres de reprise, dont deux globales, a annoncé La Voix du Nord. L'enjeu? 3.230 emplois et 630 magasins en France.
Incapable de rembourser sa dette, le groupe de mode français pourrait être transféré à ses créanciers en fin d'été. Le futur de Minelli, sans acquéreur, de Caroll et de La Halle, qui peinent à se relancer, est incertain.
Plombé par sa dette, l’ex-géant de l’habillement ne regroupera bientôt plus que La Halle et Caroll. Mais pour combien de temps ? La direction soutient qu’elle maintiendra ces marques, les syndicats que tout sera vendu.
Avançant sur les reventes d'André, Naf Naf, Pataugas, Kookaï et Chevignon, la maison mère de La Halle a trouvé un accord pour la réduction de sa dette et va refondre très largement son conseil d'administration.
"On a péché par arrogance parce qu'on a trop de marques, on a acheté trop d'enseignes" et "on n'est pas capable de soutenir toutes ces enseignes", a indiqué hier Patrick Puy, le PDG de Vivarte.
Pour la seconde fois en un an, les actionnaires se débarrassent d'un PDG, trop timoré dans sa stratégie de restructuration. Retour sur quatre ans de chaises musicales et de passes d'armes.