
Entré en Bourse l'été dernier, l'e-commerçant grenoblois annonce un volume d'affaires de 213,7 millions d'euros pour l'année 2021 (+10,3%), à 40% réalisé à l'international.
61 éléments publiés avec le(s) mot(s) ou expression Boris Saragaglia dans News, Tendances, Vidéos, Galeries photos, Agenda et classés par "date décroissante".
Entré en Bourse l'été dernier, l'e-commerçant grenoblois annonce un volume d'affaires de 213,7 millions d'euros pour l'année 2021 (+10,3%), à 40% réalisé à l'international.
Alors que le trafic en magasin aurait chuté de 55% le premier jour des soldes par rapport à l’an dernier, selon Tiendeo, les ventes omnicanales des enseignes auraient dans le même temps grimpé de 11%, indique Socloz.
Récemment introduite en bourse et confiante dans sa rentabilité, l'entreprise grenobloise travaille au rachat de nouvelles marques, qui viendraient compléter une offre de 17 marques générant à ce jour 15% de ses ventes.
Le groupe grenoblois, spécialiste de la vente en ligne de chaussures, va entrer sur Euronext Growth à Paris. Il espère lever 25 millions d'euros, avec un prix visé entre 6,53 et 7,22 euros par action.
Alors que le groupe a déposé ce lundi un dossier d'autorisation d'entrée en Bourse auprès de l'autorité des marchés financiers (AMF), son PDG explique cette décision et ses ambitions.
Le commerçant en ligne, spécialisé dans les chaussures et articles de mode, a annoncé lundi la première étape de son entrée à la Bourse de Paris.
Deux mois après l'annonce du rachat du label de chaussures pour femmes JB Martin et pour hommes Christian Pellet, Spartoo, qui avait échoué à redresser André, fixe un cap à atteindre pour ses nouvelles acquisitions.
Entreprise française centenaire liquidée cet été, JB Martin renaît sous l’ombrelle de l'e-commerçant grenoblois Spartoo, qui a également repris les marques Christian Pellet et Un matin d’été.
Alors que son propriétaire Spartoo renonce à un plan de continuation, l'enseigne de souliers voit l'un de ses anciens dirigeants se porter acquéreur. François Feijoo reprendrait 47 des 106 succursales, selon la CGT.
Emmanuel Macron avait assuré mi-mars qu'"aucune entreprise ne sera(it) livrée au risque de faillite" à cause du confinement, mais de nombreuses enseignes risquent de payer un lourd tribut économique et social.